Avant de partir
- aureliajaeger
- 21 juin 2021
- 2 min de lecture
Avant de partir… il y a eu du pain sur la planche !
Depuis le mois de janvier, je fais des listes. Des listes de choses à faire, des listes de trucs à ne pas oublier, des listes pour ne rien laisser au hasard.
A moins de 2 mois du départ, même si tout s'accélère, je pense que tout est à peu près en place pour un départ et un séjour dans de bonnes conditions.
En tête de liste il y a eu le logement. En trouver un là-bas, et louer le mien en métropole pendant ce temps.
Une fois ce point épineux réglé, le reste n'a été qu'une question d'organisation.
Pour mon point de chute en Polynésie, une bonne fée de Moorea (mon amie Annie que je ne remercierai jamais assez) m'a proposé une location toute chouette dans les hauteurs de Papetoai, libre début septembre, dans mon budget et avec piscine s'il vous plait ! Un coup de pouce bienvenu, qui m'a évité les longues recherches, les plans incertains, les échanges d'argent à distance sans avoir pu visiter les biens ! Une bénédiction je vous dis.
Pour ma maison près de Nantes, elle devrait se louer meublée sans souci, bail d'un an à compter du début de mon congé sabbatique, formalités sous-traitées à mon agence immobilière préférée.
Ensuite il a fallu louer un Box pour mes cartons, louer un appartement pour mon Noé, trouver une bonne âme pour accueillir mon chat (merci Elodie ❤) et rendre ma voiture à Renault qui me l'avait louée longue durée.
Aujourd'hui tout est presque prêt, samedi j'organise un vide-maison pour me débarrasser du dernier superflu qui n'a pas encore trouvé preneur sur Leboncoin ou sur Vinted. Les déménagements ont cet avantage de vous rendre plus léger, en vous permettant de vous délester de tout ce qui encombre la maison, le grenier, l'esprit (et la vie) pour pouvoir partir plus facilement, gagner en insouciance et en liberté.
Pour l'instant tout va bien, même si j'ai des montées de panique parfois certains soirs… j'ai peur souvent d'avoir mal calculé, de voir mon pécule fondre comme du beurre au soleil des tropiques. Et j'ai mal au cœur aussi à l'idée de partir si loin de mes tout petits (qui ont quand même au moins 20 ans). Je ne vais pas les revoir tout de suite, pas pouvoir les bisouiller pendant de longs mois et ça me fait froid un peu - même si je sais bien que de leur côté ils vont peut-être bien enfin respirer.. et finir de grandir aussi.
Un jour il faut bien couper le cordon.
Et s'envoler comme un ballon.

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